Maison de Mary

Mary qui vit les shuriken arrivais sur elle fit un saut la fessant esquiver les shuriken. En l'air elle invoqua un clone, elle lui tendis son bras et le rasengan apparut mais cette fois ci il était plus gros. Elle fonça alors avec son clone en piquée sur seto.

Mary a esquivé mes projectiles en sautant. Un très long saut, cela dit. Elle a joint les mains, toujours dans les airs, et un clone est apparu à ses côtés. Elle a ensuite rapproché son bras de la main de son clone. La fumée qui entourait son double s'est rapidement dissipé pour me laisser voir ce qu'elle faisait. Elle était en train de former une boule de chakra, sous forme d'une sorte d'orbe tourbillonnante, et l'a soudainement brandi vers moi, fonçant en piqué accompagnée de son clone.

Elle se mettait à fond, ça me faisait plaisir, mais elle allait vite s'épuiser si elle enchaînait techniques sur techniques. En ce qui me concerne, j'utilisais toujours l'environnement en ma faveur, ça facilitait la tâche. Par contre, à part de la roche et de l'air, je ne pouvais pas utiliser grand chose sans utiliser du chakra normalement, ce qui est plutôt embêtant. Tant pis, je ferais avec ce que j'ai. Je me suis ré-concentré sur le combat, perturbé par un petit détail.

Alors qu'elle allait me toucher, la boule a soudainement pris du volume. J'ai alors reconnu la technique, qui était propre aux Uzumaki. C'était un Rasengan, c'était pour cela que j'avais pensé à une orbe tourbillonnante, c'était exactement ça. J'ai esquissé un sourire, fier d'elle. Comment l'avait-elle appris? J'ai ramené mes bras vers mon visage, comme pour me protéger de son attaque. Un réflexe défensif. Puis soudain, une vague de vent s'est heurté à la boule de chakra.

Il y a eu une explosion, que j'ai du esquiver en me téléportant sur une roche, puis plus rien. Il y avait un peu de fumée brunâtre, celle produit par la fissuration soudaine du sol de roche, du au choc entre l'orbe tourbillonnante et la vague de vent. J'attendais qu'elle s'évapore, debout sur la roche. J'ai attrapé un objet brillant, situé dans ma poche. C'était une montre à gousset. Je l'ai regardé, fixant la grande aiguille qui défilait en chaque petits "clics".

Clic... Clic... Clic...

Elle avait dépassé une heure pile. J'ai refermé le couvercle de la montre d'une main et je l'ai rangé. La fumée s'était enfin dissipé. L'état du sol n'était pas très joli, en effet.
Ça me faisait un peu mal de le détruire comme ça, à vrai dire.

- Et si on arrêtait l'entraînement? ai-je proposé à Mary, que je ne voyais pas encore

Elle avait peut-être été propulsée quelque part.

Mary atterrit derrière seto avec un sourire au lèvre. Elle poussa ensuite un soupire toujours la même chose. Elle était a bout de force

-Oui arrêtons, Je suis exténué ! alala

Elle se rapprocha petit a petit de Seto

J'ai regardé le soleil de loin, m'asseyant sur la roche, en balançant mes pieds dans le vide. Je pourrais faire ça toute la journée. Le paysage était vraiment magnifique, malgré l'absence de végétations dans ces lieux. Il y avait quand même de la terre, ce n'était pas Iwa après tout.

Oh, à force de détailler de cette façon, je me rends compte que je vieillis trop vite...

- Dis, Mary, je sais que je te l'ai dis pleins de fois mais... ai-je fait

J'ai arrêté de balancer mes pieds dans le vide et j'ai tourné la tête vers elle, pour voir son visage. Je l'ai regardé droit dans les yeux. Des yeux rouges écarlates. Presque hypnotisant. Ça m'a rappelé une histoire. Assez lointaine, d'ailleurs, qu'on me racontait quand j'étais tout petit. J'ai de la chance de m'en souvenir, j'étais vraiment tout petit quand on me l'a conté. J'ai souri et j'ai demandé à Mary :

- Tu connais l'histoire de Reisen Udongein?

Mary s'assied aux côté de SEto puis se mis a siffloter. Elle sourit quand elle vit Seto la regardait. Quand il posa sa question, elle fit une tête puis mis sa main dans ses cheveux

-euh non, c'est qui ?

- C'était une jeune fille adorable, charmante et gentille, qui plus est. ai-je raconté, Mais le problème, c'était ses yeux. Des yeux bleus. Bien trop bleu... Elle était au bord du désespoir, perturbée par son problème.

J'avais les yeux dans le vague, plongeant dans mes souvenirs. Le ton, la façon dont les adultes me le racontaient. Tout y était. Cette histoire me fascinait toujours. J'avais pourtant presque la majorité, et j'étais encore en train de raconter des histoires de contes. L'ironie du sort, n'est-ce pas?

- Un jour, ai-je poursuivi, Elle rencontra une vieille dame, près d'un puits. Elle se présenta sous la forme d'une fée qui pouvait exaucer le moindre de ses vœux. Elle souhaita donc de retrouver la vue. Le jour suivant, en se réveillant, elle se regarda dans le miroir. Des yeux rouges comme le sang. Des yeux qui provoquaient la mort. Les yeux lunatiques.

J'ai soupiré, puis, j'ai un peu reculé sur la roche et je me suis allongé sur le sol, les yeux fermés.

- En ayant peur de provoquer la Mort, autrement dit des Incidents... Elle décida de se couper du monde. Elle partit servir une princesse nommée Kaguya. Quelques mois après, elle mourut mystérieusement, alors que sa servante était sortie cueillir des fraises. La jeune fille aux yeux mortels se sentit coupable, et décida de rester dans la demeure... Jusqu'à la fin de l'éternité. ai-je achevé, Cependant, elle n'avait toujours pas compris... Que son regard était indispensable. Car si la princesse Kaguya avait vécu si longtemps, c'était grâce à elle. Et de là... On n'entendit plus parler d'elle. Fin.

Je ne souriais plus. J'espérais que Mary avait compris mes comparaisons.

- Après tout... Le rouge est la couleur des héros, n'est-ce pas? ai-je murmuré en regardant le ciel

La phrase préférée d'Ayano... J'ai soupiré.

Mary regarda Seto qui s'allongea un peut soucieuse. C'est vraie que des yeux rouge ce n'était pas normal, des personnes ayant les yeux rouge sa se trouve pas a chaque coins de rue. Mais si elle aussi était maudit et quelle apportait la mort. Elle repanssa alors a ca mere adoptive qui était morte, ca serait peut être a cause de ces yeux. Mary se mit alors a trembler et mis sa tête dans ses main.

- eh si je l'avait tué, enfin si c'était de ma faute que maman est morte murmura t elle

-...

C'est peut-être moi. Ça doit être moi. Il faut que j’arrête la philosophie, les gens comprennent pas quand j'emploie ce genre de façons de parler. Mais ce n'était pas vraiment de ma faute, c'était à cause d'un livre que j'avais lu... Cereal Expiment Laid. Et voilà que Mary recommençait à stresser... Et tout ça par ma faute. Je me sentais un peu coupable, alors je me suis relevé et je me suis rapproché de son visage. J'ai esquissé un sourire rassurant.

- Tu n'as pas compris ce que je voulais dire... C'est tout le contraire! me suis-je exclamé, Tu n'as pas à te cacher indéfiniment à travers cette petite forêt, de peur du regard des autres. Tu n'es pas Reisen, et je ne veux pas que tu rates ta vie comme ça, parce que je suis ton ami.

Mary leva sa tête de ses main. Elle vit le visage de seto, elle sourit, sa fessait vraiment longtemps quelle n'avait pas entendu se mot, "amis".

- peut être, j'aimerais ..... bien revoir tout le monde.

- Sérieusement? ai-je fait, surpris, avant d'esquisser un sourire, Si tu veux on ira leur rendre visite!

Je me suis interrompu. Elle n'avait pas eu connaissance de ce qui était advenu d'Akira, de papa et de Mika. Il fallait la mettre au courant, mais je peinais à lui dire. Je me suis gratté la tête, embêté. Il ne restait plus que la moitié de la famille Akane... Non moins... Qu'on pouvait voir. J'ai tristement regardé le sol. Ils me manquaient tellement. Tous ces souvenirs lointains... J'ai secoué la tête. Nous allions prendre un nouveau départ. Avec Mary, Kido, Kano, Akiakane. Et surtout, avec papa.

J'étais déterminé à le revoir. A tous les revoir.

- Euh... Mary, je...

Je n'ai pas poursuivi ma phrase; Je n'avais pas le courage de le dire, ça demandait beaucoup trop d'efforts. Tant pis, ce sera pour une autre fois. J'ai plutôt pensé à Kido et Kano. Ils étaient encore Genins, ces deux-là, Kano je ne savais pas, mais je savais que Kido n'avait pas eu envie de le passer, à cause de Kyuubi. Elle pensait qu'il allait lui faire un coup fourré pendant l'examen, et qu'on rejetterait tout sur elle. Elle ne supportait pas les morts. J'ai soupiré. Je me demandes ce qui l'a motivé de le passer, cette année. J'en suis revenu à Mary, que j'avais déjà oublié. J'ai esquissé un sourire.

- Non, rien... Ça te dirait de retourner à Kiri?

Mary se leva du rocher. Elle sourit, puis fit baillement et s'étira puis tendis sa mains a Seto.

-oui allons y, on y verra akira-kun, aki-kun et papa

Je me suis levé à mon tour, et j'ai observé pendant un instant la main de Mary. Marcher main dans la main, je n'osais même pas faire ça avec ma grand-mère. Par contre, porter les jeunes filles, ça je savais bien le faire. On m'avait appris ça lors de ma formation à la police. Par contre, je ne sais pas à quoi ça sert... On m'a répondu que "c'était pour aider les gonzelles à remonter les escaliers quand elles sont HS puis tourner ta clé dans la fermeture de sa porte" ou encore pour "découvrir le jardin secret du Pays des Merveilles". Cependant, j'ai eu beau étudié, je n'en ai jamais su le sens. C'est peut-être parce que je suis trop jeune?

Je n'ai pas assez d'expériences... Il faut que je me cultives encore plus! J'ai arrêté de penser à mon avenir pour prendre la main de Mary, confiant. Chaud. Je supposes que c'est normal, ça veut dire qu'elle est en vie.

- Oui... On verra qui on pourra voir.. lui ai-je répondu en détournant le regard

Mary rougit un peu quand seto lui attrapa la main, cette charleur quelle dégager. Ces vrai que des humain elle n'en as pas vraiment fréquenter. Donc elle na jamais pu pouvoir tenir la main de quelle qu'un.

-eh.... euh .... kiri c'est a combien de temps ?

J'ai réfléchi. Il allait falloir prendre des provisions, voir même quelques rouleaux, pendant le trajet, qui était plutôt long. A ce que je m'en rappelles, la distance de Kumo à Kiri était relativement la même que de Konoha à Kiri... Ce qui voulait dire que...

- Environ deux à trois jours, je dirais. lui ai-je répondu en hochant la tête

Ça faisait longtemps que je n'avais pas autant marché. J'en avais presque oublié mon affaire! Quand je m'en suis souvenu, j'ai sursauté au point que j'en ai lâché la main de Mary. C'est vrai! Mon affaire! Si je ne faisais rien, les collègues et le boss allaient me tuer. Et cette affaire était vraiment importante, j'allais peut-être avoir une promotion, qui sait?

- Excuses-moi, Mary! Est-ce que tu pourrais m'aider pour quelque chose? Après, promis, on part à Kiri.

Quel étourdi!

Mary fixa seto. Elle était un peu prèsser de revoir les autre, mais sa pouvait attendre. Elle pourrait donner un coup de main a seto.

-Oui, quoi ?

- Je dois enquêter sur quelqu'un, et j'ai besoin de toi. ai-je répondu

D'habitude, je commençais mes enquêtes en retrouvant le suspect, et en l'interrogeant. Mais, malheureusement... Dans la majorité des cas, on ne pouvait pas le retenir, et il effaçait toutes les preuves tangibles qu'on aurait pu utiliser contre lui. Ça devenait donc plus compliqué pour l’inculper dans la faute qu'il avait commise, et il disparaissait des fois sans laisser de trace. Une personne dangereuse de plus dans la nature, pensai-je à chaque fois. Alors, maintenant, on commence toujours pas fouiller son domicile, et ensuite on l'interroge. Mais le problème principal...

- Il faut que tu le distrais pendant que je chercherais des preuves contre lui. Parler, il faudra simplement lui parler et le tenir à distance de chez lui. Tu es d'accord?

Mary soupira, elle ne savait pas trop. Sa fessait longtemps quelle n'avait pas beaucoup parler avec quelle qu'un. C'était dur pour elle de trouver un sujet de conversation, les humains. Elle préféré rester dans ses livres. Mais, bon pour Seto elle pouvait se donner se petit défis.

-Euh... oui ... pas de problème

- Merci! Ah, heu..

J'avais laissé mon sac près de chez elle. Il contenait les dossiers du suspect. Je lui ai dit de m'attendre et je me suis précipité à sa maison. Je suis revenu avec le sac, et j'ai plongé mes mains à l'intérieur pour chercher le dossier. Je l'ai enfin trouvé, et j'ai ouvert le livret.


J'ai hoché la tête. J'ai déjà entendu parler de lui, il traîne souvent près des montagnes. Il faut l'arrêter ici, et engager la discussion avec lui. Avec un peu de chance il n'est pas encore rentré. J'ai informé Mary de ce que je savais, et je suis parti chez lui en lui souhaitant bonne chance.

[...]
(HRP : A toi de jouer! Je ferais le pnj)