Maison de Reiko

Reiko rentra chez elle, mettant ses chaussures à l'entrée, comme d'habitude. Elle chercha le sabre, observant la pièce avec son sharingan. Sa mère arriva, lui demandant ce qu'elle faisait.
- Je cherches le sabre. Tu sais celui avec lequel s'entraînait Seiko. répondit Reiko, C'est idiot mais je voulais vérifier les dires de quelqu'un.
- Je suis désolée, mais tu ne peux pas faire ça. Laisses tomber. fit la mère, lui prenant le bras pour la tirer de la pièce.
- Hmph... Tu n'as pas le droit de me donner d'ordres! rétorqua Reiko
Elle poussa sa mère, quand celle-ci remarqua son aura démoniaque. Un objet pointu commençait à sortir de sa main, sous le regard terrifié de sa mère.
- R-Reiko? balbutia sa mère.
- C'est légitime. C'est mon héritage...
Elle s'approcha de sa mère, collée contre le mur. Reiko la dévisagea, un sourire terrifiant aux lèvres.



- Disparais...
En un coup d'épée, le regard de sa mère s'éteint. Du sang jaillit de sa poitrine.
- Dans un tonerre de... cris d'oiseaux.

Sa mère s'effondra, et Reiko sortit de la chambre, tandis que son père s'en approchait. En voyant son épouse au sol, et le sabre ensanglanté dans la main de sa fille, il fit quelques pas en arrière et voulut s'enfuir, mais Reiko fut plus vite que lui. Il s'effondra sur ses pieds, essayant desesperement de ramper en dehors du couloir. Elle brandit son sabre au dessus de lui....

- Tu n'as pas compris? Meurs.
... et l'acheva.



Reiko se retourna une dernière fois vers ses parents. Un deuxième tomoe venait de s'afficher dans le sharingan de Reiko.
Cette fille n'a jamais eu de parents, dit-elle.
Jamais.



Le Faucon a pris son envol.

akane ne se senti pas bien il avait mail au ventre donc il décida d'aller rendre visite a reiko il toqua cher elle

Elle cacha les corps sous un lit, et enfonça son katana dans sa main, comme elle l'avait fait pour le sortir. Reiko s'approcha doucement de la porte, l'ouvrant en oubliant même de désactiver son sharingan.

akane regardi reiko elle avait ses sharingan actier

akane : salut reiko je voulait savoir si tu aller bien je peut entrer ?

akane (pensée) : pourquoi c'est sharingan son activiter

- Hm... Rentres. répondit Reiko
Elle désactiva ses sharingans, et se dirigea vers une chaise dans le salon.
- Mets-toi à l'aise.
Reiko observait le moindre de ses mouvements.

akane s'assit puis il regardat autour de lui

akane : qu'elle est grande cette maison et reiko ou sont tes parent ? tu ma dit que tu en avait il dorme ?

akane était perplexe mais un truc le tracassait

akane : euh je vais au toilette

il se leva de la chaise parti n direction du couloir deux couloir était bien opposer il ne savait pas le quelle prendre donc du coup il utilisa son sharingan il vit qu'elle que chose par terre c'était humain il courut vers la salle ou se trouver ces personne il ouvrit la porte et vit les cadavre

akane : qui vous as fait sa

dame : re....i...ko

akane : reiko non pourquoi

la dame crachat beaucoup de sang

dame : sabre .... haine

et répéta sa jusqu’à son dernier souffle

akane eut très peur

akane (pensée) : mon sabre mais ou est t'il oh non il est dans la cuisine reiko mon sabre oh non je craint le pire

Reiko se mit à genoux, effleurant le sabre avec ses doigts.
- Hmph... Hmph hmph hmph... Ce sabre ne me correspond pas trop..

akane (pensée) : je ne peut pas laisser ces pauvre personne comme sa bon pas grave je vais rester kage bushin no jutsu



un clone apparut

akane : toi va distraire reiko moi je reste avec cette dame !!!! eux madame tenez bon

le clone rejoignit reiko est s'assie

-Hmph.. T'as fini? demanda Reiko
Reiko fronça les sourcils.
- Un clone? pensa Reiko
- Ça te dirait de rejoindre Natsu et Hiren?

akane: sentit quelque chose de bizarre a t'elle deviner que c'est un clone bon je vais luis donner l'ordre de partir que je puisse prendre mon sabre est de les emmener a l’hôpital

Le clone de Reiko qui veillait sur le corps de son pere, s'approcha doucement du vrai Akane.
Clone : Qu'est-ce que tu fais?

akane prit peur il cria

akane : AH !!!!!!!!!!!

il se mit a courir il rejoint la cuisine ou son clone était il prit son sabre et parti il courut il pleurait il avait peur maintenant que va faire reiko alors que akane connait son secret

anako : tu ne devrait pas rester avec elle elle finira par te tuer car tu c'est trop de chose rejoint moi

Reiko regarda courir Akane sans un mot, un grand sourire au lèvres, son sharingan activé.

anako : alors que va tu faire ?


akane un peu perplexe

akne : si elle tente de me toucher je la tue direct sans aucune hésitations

anako : bien fait comme tu veut bon j'y vais


akane ne sentit plus la présence de anako

aakane (pensée) : je fonce a la police de konoha

Elle prépara son sac et commença a se diriger vers la foret de Konoha.

Reiko rentra chez elle.
- J'ai récuperé les coordonnées du repère de celui qui a posé la marque maudite sur Akane... Je vais pouvoir.. commença Reiko
Elle tomba soudain à genoux et se tint la main entre les mains, soudain envahie du grande douleur.
- Argh... Quelqu'un essaie de violer mon cerveau?
Reiko se releva, soupirant, et s'assit sur une chaise.
- Hm... Je verrais plus tard...
Sans faire exprès, elle glissa et se cogna la tête.
- Aaaah... Aiiie je me sens... bizarre...

Elle revint chez elle, remettant ses chaussures à l'entrée, comme d'habitude.
- Hmph? Alors j'aurais vraiment tué mes parents? Ils ont... disparus. se dit Reiko, les cherchant partout, C'est comme si ça avait toujours été comme ça, pourtant... C'est étrange.
La genin s'assit sur son lit. Elle s'étira, avant de faire un grand sourire, qui comportait maintenant deux canines plutôt pointues.
- M'enfin, après tout... Qu'est-ce que j'en ai à faire? Je ne me souviens même plus de leurs noms... Aux oubliettes chers parents...

Trois ans après le départ d'Akane Uchiwa, une jeune fille aux cheveux incroyablement impeccables, noirs et courts, se défaisait de sa veste, un sorte de sweat, debout devant le seuil de sa porte. On ne voyait pas ses yeux qui étaient cachés par une ombre. Les deux fermetures du vêtement, qui étaient fendus en deux banderoles vertes perdirent alors de leurs couleurs, comme dénuées de vie. Elle enleva alors ses chaussures, également fendus en deux banderoles vertes, et les déposa à l'entrée, ne portant alors que ses chaussettes. Toujours munie de sa veste, elle entra dans son salon, et la balança sur un canapé, avant de s'effondrer sur un fauteuil, en s'étirant. C'était la fin de la journée, le coucher de soleil était plus beau que jamais. Et pourtant, dans cette géante maison, aucunes chaleurs ne s'en reflétait. Une maison trop grande pour une seule personne, une maison trop vide. Un habitat sans vies. L'Uchiwa soupira, avant de déboutonner un bouton de sa chemise blanche, à manches courtes.

La même qu'il y a cinq ans. Elle regarda le plafond, un sourire faussement nostalgique encré sur le visage, devenu aussi fermé que quand elle était Genin. Finalement, rien avait vraiment bougé depuis ce temps-là. Elle jeta un coup d'oeil au fourreau qui était accroché au mur. L'épée ancestrale Saika, alias sa meilleure copine, que ses parents avaient cachés sous ses yeux... En pensant à ses parents, elle serra les dents. Qu'est-ce qu'il s'était passé avec eux? Elle n'en avait que de brefs souvenirs, mais à ce qu'elle avait entendu, le crime avait été horrible. Même si personne n'avait encore résolu l'affaire, et trouvé le coupable, les gens l'évitaient comme la peur, craignant qu'elle se montre agressive. Impossible. Presque qu'impossible."C'était un ninja modèle, après tout." Elle écarta les quelques cheveux rebelles de son front en un mouvement de tête, faisant alors découvrir son regard meurtrier et perçant dont la couleur inhabituelle lui donnait une certaine classe. Elle esquissa sourire sardonique et froid.

"Élève modèle" n'était pas tout à fait sa définition des choses. Enfin, chacun son opinion. Elle se releva calmement et lentement, comme elle le faisait dans n'importe quelle situation. Que la maison crame ou que les Kage se mettent tout à coup à l'attaquer, elle ne perdait jamais la raison et ne paraissait jamais agitée. Elle était déjà assez dangereuse et terrifiante, pas besoin de courir sur le plafond pour en faire évanouir quelques-uns, et ceci rien qu'à l'aide d'un simple regard. Mais il ne fallait pas se fier aux apparences, elle a toujours été une fille plutôt sensible, attentive aux moindres paroles qui iraient de travers. Elle avait un grand potentiel qu'elle utilisait à de mauvais escients à cause de sa soif de puissance, et tuait plus de gens que CJ dans tout GTA:SA en un jour. Mais sinon elle était sympa. Sa cruauté lui faisait elle-même peur, de temps en temps, mais ça passait. La Kunoichi jeta un coup d'oeil dehors. Une fille, qui semblait un peu plus agée qu'elle, qui possédait une écharpe rouge, parlait à un enfant.

Reiko se rapprocha de la fenêtre, sans se faire remarquer, et colla son oreille à la porte. Apparemment, un nouveau meurtre avait eu lieu, la nuit dernière. Le tueur n'épargnerait sûrement personne, et c'était une mauvaise idée de traîner ici à cette heure avec quelqu'un comme lui dans les rues. C'était encore secret, une simple rumeur, mais il y avait des gens qui disparaissaient, comme ça, rien qu'en se promenant la nuit dans les ruelles de Konoha. Peut-être le phénomène s'étendrait-il...? La fille s'interrompit dans ses réflexions, et caressa les cheveux de l'enfant, qui hocha la tête, lui promettant de ne plus jamais sortir à cette heure. Il se précipita alors vers sa maison. Son interlocutrice restait plantée là, immobile, abandonnant son sourire faux pour une expression plus inquiétée. Qui était ce tueur? Pourquoi s'en prenait-il à ces gens? Un frisson la parcourut, et elle se retourna vers la porte de Reiko, la fixant, des sueurs froides envahissant son cou. Elle secoua la tête et se dépêcha de rentrer chez elle, faisant demi-tour. Derrière la porte, se trouvait l'Uchiwa, qui avait tout entendu.

Ses yeux rouges brillaient dans le noir, lui donnant un air plus qu'effrayante. Elle souriait, simplement. Le Sharingan, qui perçait à travers l'obscurité, était déjà assez apeurant, mais son sourire ne reflétait aucunes émotions. A en donner des frissons, effectivement. Le Tueur de Konoha, huh? Qui pouvait bien avoir osé faire ça? Il devait être plutôt costaud, comme type... Les victimes étaient actuellement tous des Uchiwa, la plupart étant des ANBU, et des haut-gradés. Quelqu'un voulait clairement effacer le clan. Mais qui? Reiko abandonna son sourire, et se dirigea vers son épée, avant de la prendre délicatement du fourreau, admirant la lame. Une aura écarlate s'en dégageait, et ce n'était pas seulement la lame. Les banderoles de ses habits s'éclairèrent d'un rouge fluorescent, brillant de milles feux. Mais quand la jeune fille désactiva son Sharingan, tout redevint comme avant, et ce fut une aura verte qui se dégageait du sabre. Elle le remit à sa place, la mine habituelle; sérieuse et appliquée. Elle se dirigea vers sa chambre, avant de se fourrer dans la couette de son lit défait, s'endormant assez tôt. Une élève modèle jusqu'au bout, huh. Pourtant, elle passa une nuit blanche à faire des cauchemars.

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