[Ruelles de Kiri] Début du drame...

Le matin du 15 août, Ayano n'avait pas grand chose à faire. Elle était malade, et elle arrivait à peine à bouger du lit. Elle se décida alors de sortir prendre l'air, ne serait-ce qu'une petite fois avant de rentrer chez elle. Elle arpenta les rues de Kiri, avant d'arrêter dans une ruelle peu fréquenté, là où elle pourrait réfléchir sans se faire déranger.

- Ça fait deux ans que je suis ici... se dit-elle, Et je n'ai rien dit à Papa.

Un jour, il allait falloir se lancer. L'Akane soupira, à bout de forces, et surtout complétement blasée. Mais malgré tout, elle esquissa un sourire. Elle avait ses amis, que demander de plus? Il fallait bien raconter à Kenjirou ce qui s'était passé entre temps, alors qu'il croyait sa fille décédée... qui vivait dans le même village que lui, sans même le savoir. Soudain, elle entendit un ricanement venant de l'ombre; la voix d'un homme.

- C'est une histoire déplaisante...

Elle se retourna, pour voir qui il était. Elle n'eut le temps que de l'apercevoir vaguement. Il portait une capuche noire, avec deux motifs près du bord; la moitié de deux grands yeux ronds. Elle ne regarda pas le bas de son corps, seulement son visage qui perçait un peu à travers celle-ci. Des yeux jaunes, comme ceux d'un serpent, dont le blanc des yeux étaient gris, accentuant la couleur de la pupille, des cheveux noirs hérissés en pique qui s'échappaient de la capuche et des motifs jaunes, trois petits ronds exactement situés près de sa paupière. C'était tout ce qu'elle avait vu.

- Qu'est-ce que..?

Des serpents sortirent de sa manche pour venir se diriger vers elle. A peine avait-elle pu sortir un mot, que les bêtes vinrent la transpercer de partout, faisant gicler son sang contre le mur. Ce n'était pas une simple attaque. Son agresseur voulait sa mort. Elle écarquilla les yeux, laissant à peine laisser passer un souffle, un dernier mot. Le corps d'Ayano est tombé au sol, dans un bruit sourd et sinistre.

- Je devais bien intervenir.

Et il a disparu de la vision de l'Akane, qui était déjà brouillé. Elle allait décéder suite à une morte lente et pleine de souffrance et de regrets, gisant sur le sol dur et froid de la ruelle de son propre village. La ruelle qu'elle empruntait quand elle était petite pour rentrer chez soi, qu'elle utilisait pour jouer, ou se cacher...

Cette fois, personne n'allait la ressusciter. Les gens ne ressuscitent pas.

BAD END!

akira qui ne savait pas trop quoi faire, qui était a bout de force décida d'aller squatter chez sa soeur mais, quand il arriva il toqua personne ne lui ouvrit asako ne compris pas trop se qui se passait. Elle fit un sourire et tira la manche de Akira.

-Bon elle doit être dans kiri

Akira fit un sourire puis se mit a suivre asako qui se baladait un moment il vit une petite ruelle ou il n'y avait rien soudain il continua d'avancer et heurta quelle que chose. C'été asako qui été figé devant l'horrible scène, le cadavre de sa sœur mordu de toute parts. Il se stoppa net ne trouvant pas les mots, elle asako avait toute les larmes de son corps qui pleurè AYANO MORTE
sa tête raisonner elle se propulsa sur le corps de son amie et le mit sur ses genoux. La peau d'ayano était toute blanche cette dernière avait les yeux fermé.

-Ayano réveille toi, ayano, aller aller ayano debout

Elle tapota la joue de son amie espérant quelle se réveille mais rien l'akane était belle et bien morte .

-POURQUOI ?! NON !!! AYANO DEBOUT LÈVE TOI !!! TU NE PEUT PAS MOURIR

Asako entendis dans sa tête le mot mort qui se répétais un nombre incalculable de fois. Luis akira n'osait pas approcher du cadavre de sa sœur.

-MAIS PU..... C'EST QUOI SE BORDEL ? NON JE JURE DE TUER CELUI QUI A FAIT SA! même si sa veut dire mourir a mon tour je le tuerais

la voix de asako baissa de volume pour en prendre une sereine.

-oui je tuerais chaque personne me géant, je l'écraserais pour le bien de ayano. Oui

Akira ramassa le corps de sa sœur et le transporta jusqu’à l'hôpital de kiri ou il l’accueillir. Ils emmenèrent le corps dans une chambre avant d'annoncer de vive voix que ayano akane avait bien décéder. Asako leva la tête vers l'infirmière est la dévisagea. Ces yeux était tout rouge avec un léger trait au milieux. L'infirmière partit direct.

-Voila c'est réellement fini akira je m'en fous trouve tout les membres de ta famille et dis leurs de venir. On va organisè un belle enterrement pour ayano.

akira fit un soupir

-Et si il n'accepte pas

-TU FERME TA GEU.... ET TU VA LES CHERCHER

akira eu un petit frisson puis salua asako et parti de l’hôpital.

- Bonjour, fit une voix, Il est arrivé quelque chose à Ayano?

Encore la capuche noire, autrement dit l'agresseur de l'Akane. Des yeux de serpents, de couleur jaune, presque fluorescentes. La première chose qu'on remarquait en le regardant. Cependant, cette fois-ci, ils étaient masqués par la capuche. (Il voit pas quand il marche je penses :/ ) Les serpents n'apparaissaient nulle part, cette fois. Au niveau du bas de son bassin, il avait un long pantalon noir, qui allait jusqu'à ses chaussures. Quelques ceintures étaient éparpillés un peu partout autour de son bassin; on ne savait pas vraiment à quoi elles servaient, d'ailleurs. Il enleva sa capuche, pour laisser entrevoir un visage inquiet et franc.

Il avait l'air honnête.

- Akira Akane. murmura-t-il, avant de hausser le ton, Tu ne te rappelles pas de moi?

Il penchait la tête à droite...

________

Ayano se réveilla dans sa maison. Elle s'étira, en baillant. Tout ceci n'avait été qu'un rêve? Elle posa sa main sur son ventre; la partie du corps la plus touché par les serpents. Elle en tremblait encore. Non. Ce n'était pas un rêve. Elle se releva, se postant devant son miroir, en silence.

- Non... C'est pas possible... marmonna la jeune fille

Elle ramena ses mains à ses joues, dans une expression figée. C'était bien elle... Mais elle était... tellement petite. On aurait dit un gosse de sept ans, pas plus. Elle se précipita en dehors de sa chambre. Elle faillit trébucher, mais ce qu'elle vit la scotcha sur place. Sa mère, son père, et toute sa fratrie réunis dans une même pièce. Et en vie.

- Oh putain... chuchota Ayano
- Bonjour, Ayano! Bien dormi? lui demanda sa mère, en se retournant vers elle avec un sourire, Il était temps!

L'Akane injuria encore une fois, cette fois à voix haute, laissant ébahis et consternés ses parents, et manquant de faire s'étouffer Akiakane, qui mangeait encore une tartine. Elle monta à l'étage en courant et s'enfermant à clé, avant de barricader.

- C'est quoi ça? Un retour dans le temps? Comment? Non plus important, si nous sommes ce jour-là, alors ça veut dire que..., pensa-t-elle, Ma mère...

Elle resta silencieuse.

-...Va mourir aujourd'hui.

_____
Retour présent! (Code lyoko plagiat spotted)

akira leva la tête a l'homme qui venait de lui parlais, il disait le connaitre et connaitre ayano, mais comment est ce possible. il se stoppa et regarda droit dans les yeux le jeune homme.

-désoler me rappelle pas de vous, mais qui êtes vous ? et comment connaissez vous ma sœur ?

- Je l'ai... d'une certaine façon, aidé. lui répondit-il

Il attrapa quelque chose de sa poche, et en ressortit discrètement une petite seringue. Il continuait à parler en même temps, se rapprochant chaque seconde plus proche d'Akira. Il continuait à sourire, à la fois conciliant et triste. Un bon mélange d'expressions. C'était un expert dans la chose, apparemment. Il se présenta alors à son interlocuteur :

- Je suis William. Tu travaillais pour moi. Ta soeur aussi... Jusqu'à ce que...

Il bloqua soudainement l'Akane contre un mur et lui enfonça l'aiguille dans le bras; un poison mortel. Il agirait dans quelques secondes. Il sentirait la vie le quitter, le froid l'envahir... William choisit de s'éclipser, laissant la foule en panique, tandis qu'Akane s'écroulait sur le sol, pâle. L'homme à la capuche lui jeta une dernière parole d'adieu :

- A la prochaine, Akira. Tu m'as été utile. Nah, je plaisantes!

Il lui a adressé un signe, a remis sa capuche et s'est enfui en vitesse. Quand les policiers vinrent, c'était déjà trop tard. Une jeune fille aux cheveux noirs, qui passait par là, reconnut la victime et se fit un chemin entre la foule pour le regarder.

Il fut transporté rapidement aux urgences, mais c'était évident que c'était fini pour lui. Étrangement, la fille aux cheveux noirs sourit à ce moment-là, avant de froncer les sourcils et de lâcher un soupir désorienté.


________
Ayano sortit finalement de la chambre pour parler à sa fratrie. Mais il fallait savoir à qui elle pouvait parler. Mikakane n'en aurait rien à faire, Akiakane ne la croirait pas, et les autres la prendraient pour une folle. Il ne restait plus que quelques chances. D'ailleurs, où était passé Akira? C'est vrai, il n'était pas encore parti à cette époque.

Il devait être à la maison...

Akira ne compris pas se que voulait dire l'homme mais c'été trop tard il sentit la seringue de l'ennemie entrè dans sa peau. Il se dit alors que ces technique aller l'aider mais cette fois non en quelle que seconde les pupille de ce dernier partirent dans le vague sa vue se troublé. "eh merde" se dit il "finalement je vais mourir sans même mettre marié" il tomba raide. Sa peau commencés a prendre des teints blanchâtre.  

Elle asako décida de partir de l'infirmerie quand d'un coup sur un brancard elle vit akira. Elle eut un mal de ventre et mis sa main devant sa bouche. Ses larmes se remirent a couler "faite qu'il soit pas mort" se dit t'elle mais elle entendis derrière la porte les infirmière dire qu'il était mort. Elle s'écroula au sol, a genoux. Tout se quelle aimer, chérissait disparaissez un a un la laissant SEUL. Se mot exprimer maintenant tout se quelle ressentais, elle sorti de l’hôpital. Elle ne savait pas ou aller donc décida de vagabonder dans kiri.

Soudain akira se réveilla il était dans son lit. Il avait plus mal nul part. Il bailla fort, il se leva et ne comprit pas. Il se rappeler s'être fait injecter une grosse dose de poison mais, c'est comme si tout sa avait disparut. Il tourna la tête dans tout les sens et reconnu sa chambre. Il fonça vers le miroir et se regarda, il n'avait plus ses long cheveux noir, plus tout ses abdos, il était revenu a l'age de 10 ans. Il sortit de sa chambre et vit aki, mika, Mary sa mère et son père mais pas ayano. Il ne comprit pas tout le monde prenait le petit déjeuner normal comme si rien ne c''était passer. Se qui le choqua c'été de voir sa mère vivante sous ses yeux.

-alors feignasse bien dormis cette entrainement ta endormi a se point dit aki

akira resta bouche bèe. Elle sa mére se mit a rigoler

-Akira veut tu bien aller chercher ayano elle est partit rapidement dans sa chambre

akira aquiesa de la tête est partit en direction de la chambre de ayano et toqua a celle ci.

-Ayano c'est akira mère t'appelle

akira se disait que ayano devait être comme tous les autres et ne se souvenais de rien.

Au coin d'une ruelle, une jeune fille aux cheveux noirs attendait Asako. Elle était appuyée sur le mur, les bras croisés, et les yeux fixés sur elle, attentive au moindre de ses gestes.

- La Mort est quelque chose de bien froid... l'aborda-t-elle

Elle avait les sourcils froncés, et restait silencieuse. Elle semblait préoccupé... Mais par quoi? Elle se redressa et plongea ses mains dans les poches de sa veste, avant de partir sans un mot de plus. A mi-chemin, elle s'arrêta juste à côté d'Asako, qui était du sens opposé. Elle ne la regarda pas, mais elle lui parla quand même, fixant l'horizon :

- Imprudemment et grossièrement... Tu vas pleurer, sangloter. Lamentes-toi, et deviens frustrée. commença-t-elle, Est-ce que tu finiras comme les autres? Choisis vite ton camp; parce que tu es la prochaine sur la liste.

Elle lui fit signe et recommença à marcher pour sortir de la ruelle. Après tout, elles portaient malchance, ces ruelles... Elle s'arrêta près d'une petite boutique. Il y avait beaucoup de cartons devant celle-ci. Et entre les cartons se trouvait quelqu'un, au long manteau noir, et dont le visage était couvert par un bandana.

- Maître..?

[...]
______________
De son côté Ayano était agitée. Elle entendit quelques coups à la porte de sa chambre, et reconnut la voix de son frère. Elle l'ouvrit en hâte, et à peine eut-il le temps de dire quelque chose, qu'elle l'attira à l'intérieur en refermant la porte derrière soi, en claquant. L'Akane ne lui laissa pas le temps de réagir et s'exclama :

- Akira, Akira, tu vas pas me croire!

Elle racla sa gorge, perturbée par sa voix enfantine.

- Je suis Ayano Akane, dix-sept ans, j'ai été poignardé par quelqu'un et je suis retournée une dizaine d'années plus tôt. Je comprends parfaitement que tu ne me croies pas, mais là il faut le faire... Je n'ai jamais eu de problèmes psychologique quand j'avais sept ans, alors il n'y a pas de raisons que je mentes.

Asako qui marchait tranquillement dans la rue fut abordé d'une manière plutôt bizarre elle ne tourna que vite fais la tête vers la jeune fille mais des quelle entendu la phrase "Est-ce que tu finiras comme les autres? Choisis vite ton camp; parce que tu es la prochaine sur la liste." elle ne put s'empêcher de se mettre a suivre la jeune fille. des quelle vit la jeune fille parler avec un autre homme elle sortit de l'ombre et se mit a découvert.

-Je me disait que je ne comprenait rien a son charabia donc c'est vous les causes de tout sa ? répondez.


Akira entra subitement dans la chambre de ayano et écouta ceux que ayano avait a dire.

-tien bizarre car moi aussi je me suis fait tué mais je ne comprend pas trop se qu'on fait la. Mais attend je me rappelle de ce jour la aki m'y as fait repenser c'est aujourd'hui que mère est morte.

- Ce charabia? lui demanda William, perdu, Qu'est-ce que vous racontez?
- Il y a un tueur en ville, et il vise tout précisément les membres, ou ex-membres, des Dollars. Je me demandes ce qu'il cherche... Mais tout indique, lui expliqua la jeune fille, se retournant vers lui, ...Qu'on est les prochains à y passer.

William a commencé à se gratter la tête, contrarié. Qui pouvait-il bien être? Il haussa les épaules en un soupir. Et pourquoi avait-il fait ça? Il avait de nombreux ennemis, mais aucuns ne savait qui en étaient précisément les membres. Et la seule personne à en savoir autant, ce n'était même pas lui-même, c'était ENE, une base de donnée à l'aspect humanoïde. Ce qui veut dire qu'elle était dans les suspects, même s'il préférait ne pas douter d'elle.

- Il faut à tout prix faire quelque chose. Le tracer, le retrouver, et puis le coffrer. L'éliminer serait préférable, mais ce serait bien trop aimable. déclara William, N'importe qui pourrait mourir.
- Non, pas exactement, "n'importe qui", Maître. La liste n'est pas due au hasard... C'est pour ça que j'ai dis qu'on était les suivants.

William la dévisagea silencieusement.

- Tu en sais quelque chose? lui demanda-t-il
- Nous nous éloignons du sujet. lui a-t-elle répondu, Quoiqu'il en soit. Nous n'y sommes pour rien, Asako. J'ai juste une question pour toi.

[...]
____________

Ayano avait la bouche qui partait de la mâchoire jusqu'au sol, les yeux parfaitement ronds et les bras qui pendaient dans les airs, inertes.

- Toi aussi, tu t'es fait tué? Par ce type suspect? Avec la capuche? balbutia Ayano, stupéfiée, avant de se reprendre, Quoiqu'il en soit, il faut sortir d'ici.
- Mais attends, fit Akira, je me rappelle de ce jour là. Aki m'y a fait repenser. C'est aujourd'hui que Mère est morte.

C'est vrai. Elle aussi y avait pensé. C'est ce jour-là que tout a basculé... Pour ses amis, ses frères et soeurs, et surtout pour elle-même. Pourquoi avait-il fallu qu'elle meure? Depuis ce jour-là, elle avait toujours essayé de garder le sourire, mais était profondément touchée par sa mort. Elle avait ensuite essayé de la récupérer, d'une certaine façon, mais elle avait échoué. Et aujourd'hui, elle y était. Elle pouvait tout sauver.

Ayano sourit :

- On doit la sauver! C'est notre dernière chance! s'exclama-t-elle

Elle regarda le calendrier qui était attaché au dessus du lit. Le 15 août. L'anniversaire de la mort de sa mère. Ils ne le fêteraient plus jamais.

- Nous sommes des enfants. Mais les adultes sont des lâches, alors pourquoi ne pas essayer de la sauver? C'est vrai quoi, c'est maman!

asako écarquilla les pupilles, "les dollars" se nom, cette organisation sa fessait très longtemps que asako, ayano et akira avait quitter cette organisation.  La fille disait avoirs une question a lui poser asako hocha tout simplement la tête.

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-vas y dit ....  


Akira haussa les épaules pourquoi ne pas essayé

-oui je me suis fait tué par un certain William, oui sauvons la ! nous devons le faire

AKira se leva du lit d'ayano et se diriga vers la porte puis l'ouvrit, il vit aki  qui était devant comme si il l'attendais.

-eh oublie pas tu avais promis de m'entraîner aujourd'hui

akira mis sa main derrière la tête et fit un petit sourire a se dernier

-va t'occuper de mary et au faite mére est déjà partie ?

aki poussa un soupir

-oui a l'instant

akira se mit a courir a tout vitesse enfilant ses chaussure tout en courant, il arriva rapidement a sa mère.

-maman je veut t'accompagner

sa mére fit un sourire et attrapa la main de akira

-oui si tu veut

La jeune fille aux cheveux noirs se retourna vers Asako. William n'était plus interpellé, il connaissait parfaitement ce qu'elle allait dire, même si son changement de sujet avait été plutôt brusque. Enfin, l'important, ce n'était pas la source, c'était le meurtrier.

- Tu serais d'accord de rejoindre de nouveau nos rangs?

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Ayano le suivit de près, enfilant ses chaussures à son tour. Arrivée près d'Ayaka, elle lui prit la main à son tour, en faisant sembler de bouder, jalouse d'Akira. Akiakane, qui était toujours devant son bol de céréales, était perplexe; qu'est-ce qu'ils avaient ces deux-là, ce matin?

- Ils sont bizarres, tu penses pas, onee-chan? lui demanda l'Akane, en se retournant vers sa grande soeur

Celle-ci n'écoutait pas. Et on comprenait vite pourquoi; elle était en pleine "transe", un long filet de bave s'étalant sur la table, pendant qu'elle dormait éveillée, les yeux mi-clos. Le jeune père de famille descendit au trot, ce qui réveilla sa jeune fille. Il ne s'était pas débarbouillé, et sa ceinture n'était pas correctement fermée. Il se vêtit rapidement son manteau avant de se lancer à la poursuite de sa fiancée. Mais avant ça, il sermonna Mikakane :

- Mika-chan! Je veux bien que tu dormes, mais fais ça la nuit! s'exclama-t-il, fâché, Tu vas être en retard pour l'Examen Chuunin!
- Ow. Je tiens sûrement ça de toi. répondit l'intéressée, ses yeux commençant à se refermer, T'inquiètes, Papa Cool, je gères...

Le retardataire grimaça et leur souhaita une bonne journée. Il se retourna pour rejoindre Ayaka, qui était déjà plutôt loin de la maison. Ses deux enfants l'accompagnaient. Ayano la dévisagea. Ça faisait longtemps. C'était comme son propre miroir; elle lui ressemblait tellement... Elle avait une queue de cheval, et portait la même barrette rouge que celle qu'elle avait d'habitude. Elle avait une longue robe immaculée et un sweat-shirt gris, ce qui était nécessaire à cause du temps glacial qu'il faisait aujourd'hui. Ayano remarqua aussi qu'elle portait un sac, probablement là où elle mettait son matériel de travail...

Leur père les rejoignirent très vite, les rattrapant.

- Bonjour, chérie! Mais... hésita-t-il, Qu'est-ce que vous faites ici, les enfants?
- On accompagne maman! répondit Ayano en fronçant les sourcils

Il la regarda comme si elle était stupide. Puis il éclata de rire, avant de la prendre dans ses bras. Elle ne réussit pas à se débattre, cependant, elle était trop petite.

- Vous devriez faire vos devoirs, plutôt!
- Oh, mais ils sont si mignons! Comment leur refuser quelque chose?

Elle commença à rire, un rire angélique et doux. Quelque chose de très apaisant, qui parvint presque à faire craquer Ayano, qui s'apprêtait à pleurer. Heureusement, elle n'avait pas encore d'hormones d'adolescents, et se retint.

- Mais euh... Qu'est-ce que tu fais ici, Ayaka? la questionna Kenjirou
- Je vais au travail, pourquoi?

Il s'approcha de sa femme et lui tira sur la joue, agacé.

- On les emmène pas au travail! Tu es distraite, trop distraite, jeune fille. le sermonna Kenjirou

Ayaka lui tira la langue.

- D'ailleurs moi aussi je dois aller au travail, mais on ne peut pas laisser les enfants tout seul, non?
- C'est vrai... Pourquoi ne pas demander à Reimu?

Reimu. Ayano écarquilla les yeux. Qui était-ce? Ça, ça ne s'était jamais passé. Elle s'en souvient parfaitement, ils n'avaient été gardés par personne. Il n'était pas question de laisser tomber leur mère comme ça! Tout à l'inverse de sa fille, Kenjirou trouva que l'idée de sa fiancée était excellente, et n'attendit pas plus longtemps. Il prit Ayano sur son épaule droite, et son fils de l'autre. Il les déposa à la maison et les enferma après les avoir salué.

Ayano s'est assise sur le parquet, découragée.

-...On fait quoi maintenant..? demanda Ayano à son frère

Soudain, la porte coulissante qui séparait le salon à l'entrée s'ouvrit en un éclair. Des mains s'emparèrent des deux enfants et ils furent portés jusqu'au salon. Ayano grimaça, agacée, en se débattant. Elle en avait déjà assez d'avoir sept ans. Quand on les reposa sur le sol, ils purent enfin se retourner pour voir qui était-ce. Elle semblait avoir dans la quinzaine, et était habillée simplement, d'une veste et d'un short. Elle avait des cheveux foncés mi-longs, et les mèches à côté de ses oreilles étaient enroulés dans du tissu rouge et blanc.

- Oi. Je suis un ange gardien. s'est-elle présenté, Pour cinquante ryôs, je vous aides à sauver vos âmes. Pour cent, je sauves vos descendants. Pour deux-cents, je sauves vos vieux.

asako sourit ce demandant si cette fille se foutais littéralement d'elle ou ci elle était tout simplement inconsciente
-hum j’espère que tu rigolai en disant sa car la réponse sera non

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Akira ne se rappelais vraiment plus du tout de cette époque ou son père se comportais a peut près normalement mais sa le rendais heureux. arriver a la maison akira resta la sans bouger puis se mit a faire  les cents pas quand il entendis quelle qu'un entrè, c'était une fille elle avait vers les quinze ans et  disait être un ange gardien. Plutôt cher les prix on ne sais pourquoi.

-Waa c'est chère alala mes je pense c'est la meilleur solution pour sauver mère moi je n'ai que cent ryos et toi ayano ?

- Tant pis. lui répondit la jeune fille en plissant les yeux, qui avaient déjà assez de cernes comme ça, On va essayer de le capturer avant que tu ne te fasses tuer.
- Au fait, qui était la victime? Ou les victimes? lui demanda William

La jeune fille sembla hésiter un peu, comme si sa réaction le tracassait. Elle lâcha finalement les noms :

- Dans l'ordre suivant : Konpasu Ranbôkun, Ayano Akane, et plus récemment, Akira Akane. cita-t-elle

William écarquilla les yeux, pétrifié. Il passa nerveusement une main dans ses cheveux, en tremblotant, avant de les poser sur son visage, comme s'il pleurait. Il inspira un grand coup et reprit son sang-froid. Sa voix tendait un peu, mais il réussit à parvenir à sortir quelque chose :

- Le nom du tueur? Une signature? Quelque chose?  lui demanda-t-il, sous le choc
- Hum... J'ai déjà entendu parler de quelqu'un qui lui correspondait physiquement et... psychologiquement. Il s'agit de Kuroha.

Qu'est-ce qu'il voulait? William serra les dents.


___________
Ayano se jeta sur Reimu, littéralement, la faisant tomber.

- Vous osez faire payer un service à des enfants de sept-dix ans?! s'énerva Ayano, indignée
- Je ne penses pas que vous ayez réellement cet âge. J'ai tort?

Elle marquait un point. Et si elle le savait... C'est qu'elle savait d'autres choses qu'ils ne savaient pas. Mieux valait ne pas être trop rebelle et obéir. Ayano resta silencieuse, et se rassit, laissant Reimu s'épousseter et se redresser. Elle les regarda tour à tour, un grand sourire accroché aux lèvres. Ayano s'attendait à quelque chose d'énorme, une révélation, les réponses à ses questions. Reimu prit enfin la parole :

- Et si on jouait à cache-cache?

Ayano se jeta encore une fois sur elle. Après quelques minutes de brouhaha, ils arrivèrent enfin à trouver une entente. Reimu ne se présenta pas, et n'expliqua pas la raison de sa venue ici, ni d'où elle venait. Comment elle savait. Elle ne dit absolument rien. Mais Ayano était quand même aux anges. Elle ne connaissait rien de cette fille, mais elle était aux anges. Parce que Reimu avait accepté de les aider. Ou plus ou moins de rejoindre leurs parents.

- Vous voulez sauver votre mère, huh?
- On est très sérieux, là! On veut la sauver! s'exclama Ayano en se levant

Reimu abandonna son sourire, réfléchissant, avant de hocher la tête. Ils partirent alors à son lieu de travail, situé près d'une montagne, à Iwa... Ils prirent donc quelques heures à y parvenir, et ils se montrèrent très discrets pour ne pas éveiller les soupçons des parents qu'ils suivaient sans un bruit. Chacun dans la maison était attelé à leur tâche, et aucuns ne s'inquiétaient pour eux, pensant qu'ils étaient partis avec leurs parents avec leur accord. Une fois arrivés près du lieu de travail, Ayaka commença à dépoussiérer quelque chose, avec un outil qui ressemblait à un pinceau. Kenjirou, lui, était en train de décrire ce qu'il voyait avec un carnet.

Soudain, un petit bruit sourd les avertit d'un danger. Ayano, cachée derrière un buisson, s'élança vers eux. Tout allait s'écrouler! Il fallait les sauver. Mais une main retint l'Akane avant de la faire rentrer dans les buissons. Reimu pointa silencieusement les rochers du doigt; ils ne bougeaient pas, c'était une fausse alerte. Mais ce n'était pas le plus important. Un petit garçon était assis tout en haut de la montagne. Il semblait attendre quelque chose. Il regardait sans cesse sa montre. D'ici, on voyait seulement qu'il avait les cheveux noirs, et qu'il portait un tee-shirt jaune et une veste noire. Il jouait avec un caillou, le faisant quelques fois tressauter dans sa paume. Reimu intervint :

- Ce petit garçon va mourir. Et pourtant il n'a pas été déclaré comme mort. Ce qui veut dire qu'il est encore en vie.

Ce qu'ils ne savaient pas, c'est que c'était Kuroha.

- ...Il faut faire quelque chose.

asako leva ses yeux pour bien fixer droit dans les yeux ce william qui semblait vraiment rien savoir.

-kuroha qui est ce ? j'écoute de toute façons j'est tout mon temps. Après tout vous me devez bien des explication ma meilleur amie est mon petit amie son surement mort de sa main.

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Akira écarquilla les yeux ce garçon. Il l'avait déjà vu mais ou ? Akira sentait comme un mauvais pressentiment mais ne dis rien et resta a côté de reimu et ayano.

-C'est bizarre que après l'éboulement sa soit le seul qui soit resté en vie avec père. Je suis sur il a quelle que chose a voir avec l'accident de maman. Il faut aller le cherché

- Un esprit tueur. Il prend possession des esprits de ses victimes, et là... C'est le drame

Un sorte d'alter-ego... Elle était inquiète. William, lui, secoua la tête. Si c'était lui, alors Ayano et Akira étaient toujours, d'une certaine façon, en vie. Mais si ils sont retournés là-bas, alors c'est que Kuroha voulait les piéger pour les abattre lui-même. Ils sont sans défense dans cette dimension. Ils n'ont aucunes chances tout seul, contre lui...

- On en saura plus plus tard.

_________
Reimu hocha la tête; le petit garçon se releva. C'était le moment d'agir. Elle prit les deux enfants par les bras et les téléporta devant lui. Celui-ci se retourna, impassible. Il les regarda tour à tour, silencieux. D'ici, les parents ne les verraient pas.

- Qui êtes-vous?

- pffff est qu'est qu'il a contre les dollars ? de toute facon celui la je l'attend je vais lui faire payer ce qu'il leur as fait même si je dois mourir pour sa. aucun moyens de le trouver ?

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akira regarda le garçon droit dans les yeux, pas de doute ces yeux de couleur jaune c'était lui qui l'avait tué. Il se propulsa sur le garçon et lui attrapa le col

-toi ! qu'est ce que tu fait la ?

il lui jeta un regard remplie de tant de haine

- Actuellement, oui. Se faire tuer par lui. Donc non, il n'y a aucunes chances de le trouver maintenant.
Elle hocha négativement la tête.

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Le garçon sourit, perfide. En lui attrapant le col, la capuche était retombée sur ses épaules, révélant son visage. C'était Seto, il avait grandi avec la famille Akane. Ayano était surprise. C'était donc lui qui avait...? Elle a serré les dents. Impossible, il aimait tellement Ayaka...

- Comment a-tu pu faire ça, Seto!? hurla Ayano, Comment toi, qui était si gen-
- C'est vilain de posséder les gosses, Kuroha.
- Kuroha? fit Ayano, en se retournant vers Reimu, surprise, Mais c'est Seto...-san?

Le garçon se dégagea de l'étreinte d'Akira. Il fit quelques pas en arrière. Ayano remarqua qu'il avait quelques taches noires, de formes rectangulaire, qui étaient posées sur le cou. Il ramena d'ailleurs ses mains à la gorge, haletant, comme s'il était en train de s'étouffer. Il les abaissa après sa petite "crise", et secoua la tête horizontalement, comme s'il s'échauffait.

- Je vais vous tuer, et ensuite je les tuerais.

asako soupira

-Eh si on lui tendais un piège on le forcerais a tuer quelle qu'un moi par exemple.

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akira grimaça et serra les dents c'était quoi se bordel seto qui c'était fait contrôler.

-bon je sais pas qui t'es mais tu va dégager de se corps il ne t'appartient pas, et je ne te permettrais pas d'utiliser se corps.

akira fonça sur seto pour faire du taijutsu a ce dernier. C'est vrai son corps était devenu plus léger vu qu'il été encore jeune. Seto se défendais plutôt bien.

-Tu te défend plutôt bien

- J'aurais accepté l'idée avec joie si il aurait été dans cette dimension.
Elle sourit, sarcastique.

______
Seto bloquait les attaques d'Akira. Ce corps était bien trop faible, même s'il était doué. Il pourrait faire une bonne recrue. Il attaqua à son tour, mais d'un seul coup. Au moment où Akira allait lui donner un autre coup de poing, il attrapa son bras et lui donna une droite. L'Akane l'esquiva d'un mouvement de tête. Seto plia son bras de son autre main, et appuya d'une forte pression celle qu'il avait utilisé pour l'attaquer pour le bloquer. Ainsi, il le plaqua momentanément au sol, avant de l'envoyer valser dans les airs, en direction de Reimu et d'Ayano.

- A qui le prochain?

Ayano l'attaqua de suite, mêlant la technique de ses cristaux au corps-à-corps. Cependant, quel que soit la façon dont elle l'attaquait, elle n'arrivait pas à le frapper. Ce fut au tour de Reimu, qui préféra choisir la distance au taijutsu. Des flammes sortirent du sol pour faire un double chemin vers Seto, ou plutôt Kuroha, avant de l'entourer. Il plongea dans la terre, littéralement, pour en ressortir indemne. Reimu lui jeta un kunai exposif, près de la jambe, ne lui laissant pas de répit. Celui-ci sauta à temps dans les airs, cependant, il avait été touché. Une égratignure, mais c'était déjà ça.

Des parchemins blancs se mirent à l'entourer de toute part, flottant dans les airs.

- Me sceller dans ce monde?! Heh! Ça ne fait que repousser l'échéance! hurla Kuroha, les yeux injectés de sang

Il frappa le sol d'un pied, créant une faille sismique qui se dirigea vers les rochers. Ayano écarquilla les yeux, s'élançant vers eux. Si ils ne faisaient rien, ils allaient mourir. Reimu la retint :

- Attends! C'est ce qu'il veut que tu fasses! s'exclama-t-elle
- Laisser ma mère mourir? Tu veux que je laisses ma famille se détruire?! rétorqua Ayano, JAMAIS!
- C'est un rêve. répondit calmement Reimu, tandis que Seto essayait de résister, Et tu ne te réveilleras plus jamais de ce rêve, si tu choisis de croire à ces illusions.
- Je m'en fous! Va crever!

Elle recommença à courir. Pour sauver sa mère, son avenir, ses amis et sa famille. Elle voulait la revoir, elle ne voulait pas qu'elle meure. C'était sa mère, après tout. Tant qu'elle serait avec elle, rien ne serait plus important que tout. Ce que disait cette Reimu, c'était des conneries. Elle sauta de la falaise, se rattrapant sur un arbre. Elle se retourna vers sa mère, et lui prit le bras. A ce moment-là, elle grandit soudainement, pour reprendre son apparence normale. Une jeune fille de dix-sept ans. Elle recula; l'éboulement allait commencer. Le visage de sa mère était figé dans un sourire. Sa mère souriait quand elle est morte.

Tout ce qu'Ayano s'était dit, c'était "Elle est morte heureuse", à cet instant. Ayano n'avait pas sa place ici, dans une fin "heureuse" avec sa mère et toute sa famille. Elle avait pensé à lui prendre le bras, à la sauver. Mais tout cela était faux. Et elle n'allait pas racheter une illusion contre la réalité.


Asako, par exemple. C'était quelque chose de vrai. Et la réalité n'est pas aussi éclatante et jolie qu'elle l'est dans les livres, donc ce quotidien était normal. Reimu avait raison; elle devait accepter la mort de sa mère. Elle pouvait paraître vivante, mais elle était morte. Ce n'était qu'un flashback, elle ne pouvait rien y faire, ce n'était rien qu'une mémoire oubliée.

Elle ne pouvait pas y interférer.

Et là, c'est arrivé, devant ses yeux. Les roches sont tombées. Ayano a fermé les yeux, en serrant les dents. Elle a prit une grande inspiration, comme si elle n'avait plus de souffle, et s'est réveillé dans un hôpital. L'infirmier a sursauté.

- Depuis quand vous êtes là?!

A côté d'elle se trouvait Akira, sur un autre lit.

asako frappa dans son poings
- bah j'attendrais qu'il revienne ... je le tuerais quoi qu'il en coûte ! qu'il vienne me voir je le tuerais de mes propre main vous verrez.


akira ne comprit pas trop se qui ce passait il vit juste quelle que échange entre ayano et seto puis reimu aussi tout était bizarre. Il entendis ensuite l'éboulement mais il était au sol et ne savait pas quoi faire. Il frappa le sol et sentit son corps redevenir normal a l'age de 21 ans. Il repensa a asako et a sa mère puis d'un coup trou noir. Quand il rouvrit les yeux il vit le plafond de l'hôpital. Il tourna sa tête vers le lit d'ayano il y vit cette dernière il fit un sourire. finalement il n'était pas mort bizarre.

-revenu au monde normal

La jeune fille sursauta quand William prit la parole.
Il demandait à se recueillir devant les cadavres des deux Akane.

______________
Ayano ne pouvait dire mot. Elle était immobilisée. Elle n'avait pas vraiment mal, mais elle ne sentait absolument rien. Elle avait un gros trou dans le ventre, et des bandages un peu partout. Elle entendait Akira, et elle voyait vaguement l'infirmier, mais elle ne pouvait rien faire. Elle ferma les yeux, un peu pâle, pour plonger dans le sommeil. Qui aurait su qu'il serait si long?

asako poussa un soupire
-Ils sont censer être a l’hôpital

Akira ne comprit pas pourquoi il avait toute ses courbature, même si c'était un rêve les coup eux était bien réelle. Il regarda sa sœur pour voir si elle allait bien, oui, tout était normal. Soudain il entendit la porte de sa chambre s'ouvrit, il vit asako rentré et fondre en larmes dans ces bras. Elle était suivis de deux personne il lui demander de les lui présenter elle se redressa

-alors il y a inconnue-chan et William

akira sentit son cœur battre a tout a leurre il se leva et attrapa William par le col

-enfoirer c'est toi qui ma planter cette seringue enduite de poison dans le corps. Je me souviens bien de ce que tu ma dit " Je suis William. Tu travaillais pour moi. "

asako ne comprit pas trop ce qui ce passer. Elle sortit sa faux

- moi qui avait confiance en vous !

Ils étaient vivants! William eut un éclat de sourire, soulagé.

- Qu'est-ce que tu racontes? Je n'ai rien fais du tout.

C'est la situation qui se retournait contre lui, maintenant? Pourquoi s'énervait-il ainsi? William a hoché la tête. Il comprenait, maintenant. Kuroha se faisait passer pour lui, manipulant et tuant sous son nom. Il était malin, mais pas assez malin pour lui. La jeune fille, elle s'interposa entre William et Akira, les séparant en poussant l'Akane du bras. L'infirmier, lui, était complètement paniqué.

- J’appelle la sécurité!
- Attendez! s'est exclamé la jeune fille, Il y a visiblement un problème. Calmez-vous, et ranges ton arme, Asako.

Ayano, elle, dormait profondément, ne pouvant réagir.

akira ne comprenait rien a la situation et a tout se qui sa passait. asako fit un sourire

-vous savait quoi ? je  vais forcer kuroha  a venir me tuer .

akira la secoua du bras

-ne fais pas sa, on et la plus obligé de faire sa.  ayano va bien, je vais bien donc ne fais pas sa.

asako baissa la tête et sa faux disparut

-akira, tu ne comprend pas ce n'est plus pour sa que je me bat, c'est parce que il vous as touchè et blesser que je me bats il a osé essayer e tuer ayano et toi ! tu crois je vais lui pardonner je vais me balader dans les ruelle de kiri il viendra de lui même je pense. bon j'y vais


Asako sortit de l'hôpital et courut a tout vitesse dans toute les petite ruelle de kiri tout en pleurant mais ne vit personne. Pourquoi fessait t'elle sa ? on ne sais pas. Finalement elle était heureuse que tout le monde allait bien. elle s'arrêta ne sachant plus quoi faire. Soudain elle vit un jeune homme au bout de la petite ruelle. Elle le dévisagea cette homme était plutôt de taille moyenne, Il avait les cheveux de couleurs blond , il possédait aussi un iris de couleurs rouge et un de couleur doré , il portait une chemise de couleur blanche et un pantalons de couleur noir. Elle fut surprise de le voir, lui, que lui voulait t'il ? Il lui fit un signe de main. Elle voulut s'enfuir mais trop tard l'homme était déjà derrière elle, elle sentit son aura plutôt bizarre ce qui la paralysa. Elle se retourna mais trop tard, l'homme lui mit un immense coup d'épée a la verticale. L'homme sourit pendant que le corps de asako tombait mettant son doigt devant sa bouche (a lui) comme pour lui dire de se taire. Le corps de asako tomba sur le sol froid de la ruelle. Même la sœur de asako qui étant dans l'abysse tomba au sol raide morte. Elle regarda une dernière fois son assaillant  sachant que c'été sa dernière heure. Elle sentait son corps qui s'engourdissait et qui refuser de bouger. Soudain  une énorme bête bizarre apparut derrière l'homme.

Spoiler:

<=== ressemble a sa
Vincent nigtray.  Voila son nom. Il fit un énorme sourire sadique a Asako.
-au revoir asako. Je me serait bien amuser a t'observer toi et akira hum hum aller tchao t’inquiète pas tes amies te rejoindrons.

Soudain l'énorme bête fit un geste vers asako  et la tête de asako fut tranché et roula dans la ruelle.  Vincent partit de la ruelle avec un sourire aux lèvres. "sa c'est fait, suivant akira akane ou ayano akane"

 

akira n'avait pas aimé l’idée de asako de partir toute seul comme sa. Il mis un t-sheert sur lui, et enfila ces chaussure.
-on va la rejoindre, william et inconnue-chan vous me suivait je n'ai aucune envie de vous laisser seul dans la chambre de ma sœur .

- Écoutes-moi bien, "Akira". Je fais ce que je veux. Tu comprends? répondit William, en se retournant vers lui, Et il est hors de question que je t'obéisses.

L'infirmier, lui, était silencieux, depuis déjà un bon bout de temps. La jeune fille aux cheveux noirs se retourna vers lui. Il était penché sur Ayano, l'examinant, puis prenant son pouls. Il semblait paniqué, et s'élança en dehors de la chambre. L'observatrice attrapa soudainement la manche de William, et le força à le tirer hors de la chambre. En dehors de celle-ci, elle lui confia ses inquiétudes :

- Maître, je comprends que tu veuilles rester à ses côtés, je sais ce que tu ressens pour elle, mais tu es en danger. En grave danger. Avec Kuroha dans les parages, rien n'est jamais trop bon. Ne t'inquiètes pas pour eux, ils vont bien.

William secoua négativement la tête.

- Je ne peux pas l'abandonner. Pas maintenant.
- Maître. Si tu fais ça tu vas mourir, et je ne veux pas te perdre.

Il fronça les sourcils, se mordillant la lèvre. Il doutait clairement. William plongea sa main dans ses cheveux, abandonnant. Il poussa un long soupir, et opina. Il posa sa main sur l'épaule de son interlocutrice :

- Moi non plus.

Et il se téléporta avec elle, disparaissant dans le paysage, ne savant pas que Kuroha était déjà loin... Bien loin.

L'infirmier, lui, revint avec toute une équipe de médecins. On souleva Ayano pour la remettre sur un brancard, puis on la transporta d'urgences dans une salle opératoire. Il se tramait clairement quelque chose... Dans la chambre d’hôpital, l'infirmier regarda Akira, resté là pendant tout ce temps :

- Qu'est-ce que vous faites encore là?